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Les publications de Catherine Laurent dans Hal

Formation

Double formation complète en Sciences économiques (Maîtrise, DEA, Dr - Université Paris VII/Paris VIII) et en biologie (Dr vétérinaire, Maisons-Alfort/Université Paris XII)

Master de philosophie des sciences (Université Paris I Panthéon Sorbonne).
Principales responsabilités scientifiques actuelles

    Membre élue du Conseil Scientifique de l’INRA pour les secteur Société, Economie, Décision (SED) qui regroupe les départements de recherche : MIA (Mathématique et Informatique Appliquée, SAE2 (Sciences sociales, agriculture et alimentation, espace et environnement) et SAD (Sciences pour l’Action et le Développement) (2007-2010)
    Expert auprès de la DG Recherches de la Commission Européenne
    Membre de l’association Recherche & Régulation

Domaine de recherches

Ces dernières années, dans un contexte de reconnaissance de la multifonctionnalité de l’agriculture, j’ai conduit des recherches sur la diversité des formes d’exercice de l’activité agricole et leur prise en compte dans les politiques publiques (soutien économique et dispositifs de soutien technique). Il s’agit notamment d’évaluer la façon dont des agricultures soumises à des contraintes simultanées de développement sectoriel et de développement territorial contribuent à la régulation du développement durable. J’ai ainsi coordonné plusieurs programmes de recherche nationaux et internationaux sur ce thème (programme bilatéral INRA-WUR, programme PSDR, coopération avec l’Afrique du sud). Ces recherches ont fait ressortir l’importance croissante de l’accès aux connaissances scientifiques dans la recomposition des formes d’intervention publique. C’est pourquoi mes recherches actuelles sont centrées sur les modèles de connaissances scientifiques qui sous-tendent la prise de décision politique dans les domaines de l’agriculture et de développement durable. Je coordonne actuellement un programme de recherches international sur ce thème (EBP-BIOSOC). Ce programme financé par l’ANR pour la période 2007-2010 mobilise des chercheurs français, brésiliens et sud-africains